C’est avec une
certaine dose de tristesse que le lectorat de La Presse doit maintenant dire adieu à la version imprimée de son quotidien
préféré, tout au moins sur semaine.
En effet, les
jours ne seront plus jamais les mêmes, en particulier ceux où on envisage de
servir des pommes de terre au repas, de nettoyer les fenêtres, de ranger des chaussures boueuses ou encore lorsqu’il faut entretenir la
cage du canari.
Merci, La Presse, pour toutes ces années où tu
auras finalement été utile.
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