Le plan est clair : «C’est Libération sans Libération.» Il faut déménager le journal mais garder le joli logo. Éjecter les journalistes mais «monétiser»«la marque».
[...] il s’agit désormais de construire un Libéland, un Libémarket, un Libéworld. Un losange rouge avec rien derrière, dix lettres qui ne signifient plus grand-chose, sinon le prix auquel on veut bien les «monétiser» : Libération.
Les salariés de «Libération», 7 février 2014
Via Le Devoir
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