Hussein le chimique |
Hier soir, le pacifique président Barack Obama a prononcé un
discours télévisuel empreint de compassion et de justesse. En effet, dans le
contexte de la crise syrienne, et devant l’irrésolution du peuple et de ses
représentants, il a voulu préciser sa position et susciter les appuis qui lui
manquent encore.
Ce fut un beau et grand discours où il a d’abord fait le
point sur les origines de la crise et sur la solution concoctée par le
gouvernement russe. Le récipiendaire du prix Nobel de la paix a admis être
soulagé par la perspective d’une résolution à ladite crise sans avoir recours à
des frappes militaires, ciblées et contenues de manière à ne jamais au grand
jamais causer de «dommages collatéraux».
Néanmoins, il a servi un sérieux avertissement à la Syrie,
et à tous les pays: son gouvernement ne tolérera jamais qu’un État, quel qu’il
soit, puisse utiliser des armes chimiques, surtout à l’endroit d’une population
civile. Cette mise en garde était bien sûr assortie d’une menace directe
d’intervention militaire en cas de transgression.
Après l’utilisation inconsidérée, par les Stazunis, de
l’agent orange et du napalm, au Vietnam entre autres, du phosphore blanc et des
armes à uranium appauvri, en Irak entre autres, mon pote Barack va leur en
mettre plein la gueule!
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