Dure nouvelle dans l'actualité, aujourd’hui.
Comme
Philippe Couillard (le nom est marrant) avant lui, Rrrraymond Bachand a annoncé
qu’il quittait une bonne fois pour toutes la vie politique. L’ex-ministre des
finances et ex-candidat à la chefferie du Parti libéral du Québec (PLIQ) –
surtout à ne pas confondre avec le Parti libéral du CAnada (PLIC) – a annoncé
son retrait de la scène.
Hélas, désormais, seules les officines d’avocats d’affaires
auront le plaisir d’être gratifiés de son petit sourire d’autosatisfaction. Il
nous manquera, ce sourire. Quand, d’aventure, Rrrraymond prenait le crachoir
télévisuel pour nous expliquer de combien il allait encore nous entuber, ça
dorait la pilule. Prenez, par exemple, l’actuel chef du PLIQ qui veut augmenter
les taxes et réduire les impôts – ou l’inverse, je ne sais plus pour la différence que ça fait... –, il lui
manque cette petite touche de charisme qui rendait Rrrraymond si fendant par
moments.
Alors, au revoir monsieur Bachand. Vous vous êtes si bien
servi que nous ne doutons pas un instant que vous poursuivrez sur votre belle
lancée. Et puis si l’insubmersible Philippe Couillard (hi! hi! hi!) se plante
aux prochaines élections, il sera toujours temps de vous dépoussiérer.
Un petit sourire avec ça?
1 commentaire:
Couillard (ho! ho! ho!) est pourtant un opportuniste de la pire espèce. Ce qui ne l'empêchera pas de devenir notre prochain premier ministre. (Et s'il y a un smatte qui ose dire qu'on a les gouvernements qu'on mérite, je l'étampe...)
«Ministre (santé), il cherchait un emploi. Contrairement à ce qu’il prétendait, Philippe Couillard avait un contrat en poche avec Persistence Capital Partners (un fonds d’investissement privé en santé) six semaines avant de démissionner» (Le Devoir, 18 mars 2009) et aussi : «Couillard avait élargi la voie au privé (en santé) avant de démissionner» (La Presse, 20 août 2008). (Source)
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