mardi 8 juin 2021

Tain, toé!

 



En ce moment, le président français Emmanuel Macron mène une grande tournée de son pays. Dans la localité de Tain-l’Hermitage, alors qu’il prenait un bain de foule depuis la relative sécurité de son côté d’une clôture, un quidam mal intentionné lui a asséné une gifle captée par les caméras (voir ci-dessous).


Toute la classe politique de l’Hexagone, mais aussi de nombreux autres pays, a condamné le geste, récitant pour l’occasion le sempiternel discours sur la violence. Il y a tout de même des moments où, aussi violente qu’elle pût être, une gifle bien placée devrait avoir sa raison d’être.


Encore heureux que le coup n’ait pas été en proportion de l’entubage systématisé dont s’est rendu coupable M. Macron. Ne mentionnons pour mémoire que la réforme des retraites, la loi El-Khomri sur la refonte du Code du travail, l’utilisation de l’article 49.3 permettant l’adoption de lois sans l’assentiment de l’Assemblée, la loi interdisant la diffusion d’images de la police, sans compter les initiatives économiques ayant entraîné la crise des gilets jaunes.


Je me mets à la place des présidents, ministres et députés. S’il fallait qu’ils reçoivent des baffes chaque fois qu’ils agissent à l’encontre de nos intérêts, ils auraient les joues cramoisies en permanence.








RIONS UN PEU


Dans un compartiment de chemin de fer français, en mai 1944, on trouve une dame, sa ravissante fille, un vieil ouvrier zingueur et un officier allemand.


Alors que le train est dans un tunnel, dans l’obscurité totale, on entend un bruit de baiser et celui de trois gifles bien senties. Dès que le train sort du tunnel, l’officier se précipite dans le couloir pour appeler le contrôleur afin de faire arrêter les trois personnes qui l’ont agressé.


Au cours de l’interrogatoire, la jeune femme explique: «Il m’a embrassée de force, alors, je l’ai giflé!» Interrogée à son tour, la dame dit: «Quand j’ai vu qu’il embrassait ma fille, je l’ai giflé aussi!»


Le contrôleur demande à l’ouvrier: «Vous êtes son père?»


«Non, répond le bonhomme. Mais quand j’ai vu que tout le monde lui tapait dessus, j’ai cru que la guerre était finie.»



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