Ce qu’on ignore parfois, c’est que la Maison-Blanche, à Washington, capitale des Stazunis, n’est rien de moins qu’une forteresse. D’abord, un cordon d’agents secrets protège un périmètre élargi autour du terrain. Ensuite, le complexe est ceint d’une haute clôture difficile à franchir. En plus, ce terrain, à l’intérieur, est placé sous une constante surveillance, à la fois humaine et électronique. En plus, l’édifice dispose de tous les systèmes de sécurité imaginables afin d’interdire l’accès à d’éventuels intrus, quoiqu’il reste hautement douteux que l’un d’entre eux puisse se rendre si loin. Enfin, le président est littéralement entouré d’une garde personnelle armée jusqu’aux dents.
Or hier, tandis que M. Donald Trompe était en train de débiter sa conférence de presse quotidienne, un échange de coups de feu, à 200 mètres de là, a fait en sorte que les gardes du corps ont interrompu momentanément ladite conférence afin de mettre le président «en sûreté». L’a-t-on fait descendre dans ce fameux bunker dont la fréquentation l’a fait passer pour un lâche? Au demeurant, en quel endroit de la Maison-Blanche le président n’est-il pas totalement «en sûreté», y compris dans la salle de presse?
En effet, il est protégé contre des tireurs, des manifestants et des armes thermonucléaires. Mais, avec un tel incompétent à la tête de l’État, l’est-il contre un virus?
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