La politique d’incarcération systématique des migrants illégaux, et même des demandeurs d’asile, ainsi que la séparation des enfants de leurs parents aux Stazunis, a soulevé une vague d’indignation. Non seulement l’ONU a-t-elle critiqué la chose – mais ça, à peu près tout le monde s’en fout –, elle a même suscité un concert de critiques là où on s’y attendait peu: aux Stazunis mêmes.
Qu’il s’agisse de politiciens ou de journalistes, les condamnations à l’encontre du régime Trompe pleuvent en ce moment là-bas. Tout cela a été cristallisé par un cliché pris par John Moore, un photoreporter, à la frontière yankee alors qu’une mère d’origine hondurienne est soumise à une fouille en règle par les agents frontaliers tandis que sa petite fille de 2 ans, terrifiée, pleure à ses côtés.

Mais ne soyons pas trop sévères à l’endroit des Stazunis. Ce n’est pas comme s’ils étaient les premiers à jeter des enfants indésirables dans des camps et, pour l'époque, les conditions y étaient «satisfaisantes».
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