« Je t’aime sans fumée. » |
Depuis qu’on y a consacré des millions de dollars, les
campagnes anti-tabac ont réussi un tour de force qu’il convient aujourd’hui de
souligner afin qu’on puisse juger de l’efficacité des mesures visant à
sensibiliser le public.
En effet, en ce siècle où on tente d’améliorer les
conditions de vie, on constate que la coercition n’a plus sa place.
Par contre, on a prouvé ces dernières années que le pouvoir de la persuasion était nettement le plus fort. On l’a utilisé afin de convaincre les gens de modifier leurs habitudes de vie, d’améliorer leur alimentation et de faire preuve de plus de prudence au volant et de porter plus de respect envers leurs semblables, entre autres.
Par contre, on a prouvé ces dernières années que le pouvoir de la persuasion était nettement le plus fort. On l’a utilisé afin de convaincre les gens de modifier leurs habitudes de vie, d’améliorer leur alimentation et de faire preuve de plus de prudence au volant et de porter plus de respect envers leurs semblables, entre autres.
Mais le domaine où cette approche a produit les résultats
les plus tangibles, ce fut sans conteste dans le cadre des campagnes
anti-tabac. Ainsi, qu’on se souvienne seulement que, pendant les années 1970,
près de la moitié des jeunes adultes étaient des fumeurs. Aujourd’hui, 40 ans
plus tard, après de longues et fertiles campagnes de sensibilisation, on note
les résultats encourageants suivants: moins de 50 % des jeunes adultes
sont des consommateurs des produits du tabac.
Que demander de mieux?
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