mardi 11 janvier 2011

États-Unis et pas fini


À la suite de la fusillade qui a eu lieu en Arizona samedi dernier, les Yankees font encore semblant d’être sous le choc, exactement comme si c’était la première fois que cela arrivait dans leur pays.

Pourtant, on ne compte plus les tristes occasions où des tireurs fous ont purgé leur colère ou leur amour du divin sur la personne d’innocents dont le plus grand crime aura été d’être au mauvais endroit au mauvais moment. Après tout, il ne faut pas oublier que même leurs présidents n’échappent pas à la menace. Quatre d’entre eux ne sont-ils pas morts sous les balles d’exaltés, sans compter tous les autres qui ont été pris pour cible?

Si ça continue, les gens vont finir par comprendre et, un jour, le mur que les Stazunis construisent à la frontière avec le Mexique ne servira peut-être plus à empêcher les gens d’entrer…

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