Le nom Hunter Biden vous dit-il quelque chose? Déjà, le patronyme devrait vous mettre la puce à l'oreille. En effet, c'est le fils du président des Stazunis, M. Joe Bidon. Quant à son prénom («chasseur», en français), il était prédestiné, puisque Hunter se retrouve face à la justice, présentement, pour une histoire d'arme à feu.
Un bref retour en arrière nous permet de comprendre un peu le contexte de toute l'histoire. À une autre époque, il souffrait d'une sévère dépendance aux drogues et à l'alcool, contre laquelle il s'est battu une bonne partie de sa vie. Officiellement sobre maintenant, il ne l'était pas en 2018 au moment où il fit l'acquisition d'une arme à feu. Il avait alors nié toute dépendance à des substances illégales. Cette fausse déclaration pourrait, en théorie, le rendre passible d'un emprisonnement.
Aujourd'hui, il est utilisé par les conservateurs, les populistes et l'extrême droite yankees afin de nuire au président. Et c'est sans rire que les ténors de la libre possession aux Stazunis, ceux qui s'époumonent à invoquer le fameux Deuxième amendement, se sont ligués aujourd'hui pour défendre les règles contrôlant la vente des armes à feu.
Remarquez, chacun sa drogue. Pour certains, c'est le crack; pour d'autres, ce sont les guns.
«Les Amâricains, eux autres, ils l'ont!»
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