mardi 17 février 2015

La pelle du régiment



C'est avec stupeur et incrédulité qu'on a accueilli la nouvelle voulant que le haut taux de dépression et de suicides au sein des forces armées cAnadiennes était dû à une proportion élevée de problèmes à caractère violent au cours de l'enfance des soldats.

L'étude, tombant un peu court tout de même, ne précise pas si on devient soldat parce qu'on a été habitué à encaisser des taloches quand on était petit, ou parce qu'on veut les redistribuer une fois qu'on est grand.

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