lundi 20 février 2017
La naphtaline peut-elle casser des briques?
Samedi soir, l'ancien premier ministre cAnadien, M. Brian Mulroney, était reçu à la Maison-Blanche du sud, c'est-à-dire à Mar-a-Largo, en Floride, où Donald Trompe, le président des Stazunis, bat en retraite toutes les fins de semaine, probablement parce que, après 4 semaines, il est complètement dépassé par la réalité de Washington.
Quoi qu'il en soit, un événement avait été organisée pour venir en aide à un organisme à but non lucratif – ou sans but… lucratif – et M. Mulroney, qui avait œuvré en coulisse depuis quelque temps afin de faciliter les relations cAnado-yankees, y avait été invité.
Au cours de la soirée, l'occasion a été donnée à M. Mulroney de faire valoir sa glotte et, de sa voix chaude et caressante, il a entonné une nouvelle fois son grand succès When Irish Eyes Are Smiling. On se souvient qu'il avait interprété cette chanson en 1985 pour le président yankee d'alors Ronald Reagan.
On dit que la musique adoucit les mœurs. N'empêche, sortir Brian Mulroney de la naphtaline pour plaire au Narcisse de Washington, ça ne casse pas des briques...
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