mardi 9 avril 2019

La coquille et les coquins



Le président de l’Union européenne s’appelle Paul Juncker – et non pas Joker, petits cancres. Nous ne reproduirons pas ici son curriculum vitae, mais notons au passage que l’honorable M. Juncker, entre autres qualités, affiche un penchant marqué pour la dive bouteille. À tel point que, lors de sorties publiques, il apparaît (très) mal coordonné, voire incapable de marcher sans aide.

Ses épigones ont eu beau prétendre qu’il souffrait de problèmes de sciatique, ils n’ont bien entendu convaincu personne. Par les temps qui courent – croyez-moi – les Européens sont tout à fait capables de reconnaître les effets de l’alcoolémie, eux qui ont bien besoin d’un petit remontant.

Nombre de critiques n’en reviennent pas qu’un individu aussi indigne de confiance se retrouve à la tête de l’UE, alors que tant de problèmes surgissent au sein de ce continent en pleine dérive (immigration massive, menace de Brexit, contestation sociale, chômage, écarts socioéconomiques grandissants, etc.).

Pourtant, l’explication est d’une limpide simplicité: tandis que le chef est «empêché», les sous-fifres magouilleurs ont les mains libres. Et ces mains-là ne cherchent qu’à se servir dans le tiroir-caisse.

Bref, M. Juncker est un incapable imbibé entouré de coquins, et cela s’annonce avec une coquille dans le titre de l’article.


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