N’en déplaise aux acerbes critiques, le sommet impromptu entre le président des Stazunis Donald Trompe et le dirigeant de la vaillante République démocratique populaire de Corée Kim Jong-un a suscité des attentes énormes.
On se souviendra que l’événement n’était pas prévu au calendrier des deux hommes et que, sous le coup de l’impulsion, tel qu’il en est avec pratiquement tout ce qu’il fait, M. Trompe avait invité inopinément M. Kim à le rencontrer à la frontière entre les deux Corées. Ensuite, le Yankee a franchi la ligne de démarcation et est allé se balader côté nord, le premier président stazunien à être allé dans ce pays. Même Pékin a salué l’événement.
Si les experts admettent que ce coup de pub restera sans lendemains et que la chose ne permettra en aucune manière de résoudre les questions demeurant en suspens dans la péninsule (dénucléarisation, retrait des troupes étrangères, réunification, etc.), tous sont d’accord pour affirmer sans ambages que les plus grands espoirs ont été suscités par l’événement.
Mais Donald Trompe est revenu…
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