mercredi 19 juillet 2017

Payetteland



Le site internet ipolitics.ca a raconté que des accusations au criminel avaient été portées contre Julie Payette, en 2011. En effet, à l'époque la principale intéressée, qui vivait alors au Maryland, se serait livrée à des voies de fait au second degré sur une personne. Selon certaines sources non confirmées, la victime aurait pu être son conjoint d'alors, l'ancien pilote de chasse William «Billie» Flynn. Deux semaines après que la plainte a été déposée, le «processus judiciaire a été abandonné» sans que d'autres détails ne fussent divulgués.

Imaginez le choc que cette nouvelle a pu causer, particulièrement en ce moment alors que la candidature de Mme Payette a été retenue pour occuper le poste assez peu reluisant et totalement redondant de représentant d'un monarque étranger à la tête du CAnada [NDLR: il ne faut pas oublier que, si le premier ministre est le chef du gouvernement, en régime parlementaire, le monarque ou son représentant est, quant à lui, le chef de l'État].

Moi-même, j'en suis resté bouche bée, même si ça ne se voit pas sous mon foulard. En effet, une fois remis de mon étonnement, je me suis posé la même question que vous, sans doute: «Qu'est-ce que cette grande patriote cAnadienne foutait à vivre aux Stazunis?»

Avait-elle honte du CAnada? Trouvait-elle que ce pays sentait mauvais [NDLR: je ne saurais le lui reprocher; il y eut des moments où, en visite là-bas, j'étais bien content d'avoir un foulard afin de filtrer les miasmes]? Voulait-elle tapocher à loisir sans que ça se sache dans son pays de kollaboration?

Nous aurons peut-être la réponse bientôt. Entre-temps, nous en sommes réduits à conclure, à l'instar de la plupart des Québécois: «On n'en a rien à foutre!»


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