lundi 7 décembre 2020

Gerry 25

 

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Qui ne se souvient de Gérard Bouchard? Déjà célèbre pour être le frère de son frangin, il s’est en plus couvert de gloire cAnadienne lorsque, copilote de la Commission Bouchard-Taylor en 2008, il en était venu à la conclusion que le français n’était en rien menacé dans sa survie. 


Bref, tout ce que le Québec pouvait décider de faire pour soutenir un peu sa culture était du fascisme, du nazisme, du racisme, du totalitarisme, de l’intolérance, de l’oppression, de la répression et, en plus, ce n’était vraiment pas beau. Donc, l’application de la loi 101 était répréhensible au plus haut point.


Aujourd’hui, à la vingt-cinquième heure, ce cher, bon, gros, vieux Gerry a finalement perçu la réalité ambiante et, dans Le Devoir du 26 novembre dernier, il affirme «confirmer l’état de crise dans lequel notre langue se trouve présentement».


C’est fou la «rapidité» avec laquelle les œillères des collabos peuvent tomber; une fois qu’il est trop tard.



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