Une sous-fifre d’arrière-banc du Parti libéral du CAnada (PLiC), Mme Emmanuella Lambropoulos, s’est mis les pieds dans le plat, dernièrement.
Lors de sa prise de parole dans sa langue maternelle – l’anglais, évidemment – au Comité permanent des langues officielles, elle a exprimé des doutes relativement au déclin de la langue française au Québec. Outre la mauvaise foi ou l’ignorance crasse, on est en droit de se demander sur quoi se basaient les doutes de Mme Lambropoulos. Peut-être regrettait-elle tout simplement la lenteur du processus.
Compte tenu du fait que ses opinions sur la question entraient en conflit avec la teneur du discours du trône de son patron, le fils de Pierre Elliott Trudeau, la députée de Saint-Laurent a exprimé des regrets relativement à sa sortie, depuis.
Vaut mieux tard…
D’où la contrepèterie* du titre.
* Une contrepèterie est une inversion des lettres ou des syllabes de manière à produire un sens différent, de préférence burlesque ou grivois, s’il faut en croire le dictionnaire Robert. Il est à noter qu’un homonyme, un paronyme, un jeu de mots ou un calembour ne sont pas des contrepèteries; encore moins des injures du genre «ta gueule, pauvre conne», ces dernières n’étant jamais de mise dans une publication honorable comme la nôtre.
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