Le mot « intimidation » revient souvent dans l’actualité, présentement.
Samedi dernier, les syndiqués de la boulangerie Weston de Longueuil devaient se prononcer sur les dernières offres patronales qu’ils ont finalement rejetées à 95 %.
Le résultat est d’autant plus surprenant que la boulangerie avait fait savoir qu’à défaut pour les travailleurs d’accepter ces dernières offres, les dirigeants envisageaient la fermeture de l’usine.
Personne ne s’est offusqué de ces procédés somme toute assez litigieux.
Apparemment, quand ce sont les patrons qui le font, ce n’est plus de l’intimidation, mais bien de la saine négociation.
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