lundi 9 novembre 2009

Terreur à la pompe (suite et fin)

Parce qu’il a entrepris de dénoncer certaines pratiques, Jocelyn Boucher vit dans la peur des représailles. «Certains citoyens de Sainte-Madeleine ne vont jamais à la fenêtre de peur de se faire tirer, raconte-il. Moi, s’ils s’en prennent à moi, j’espère seulement qu’ils ne me feront pas trop souffrir.»

Johanne Fournier, Le Soleil, lundi 9 novembre 2009

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